Les gens s'assoient à une table et travaillent

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Avec l'actionnariat salarié, autant les entreprises que les employés en ressortent gagnants. Le ministère fédéral de l’Économie et de l’Énergie a donc demandé d'établir une étude qui donne un aperçu des différents modèles dans les autres pays et qui examine en particulier la situation des petites et moyennes entreprises et des start-up.

Le ministre fédéral Peter Altmaier a déclaré à ce propos : « L'actionnariat salarié est un outil important pour attirer et conserver des travailleurs qualifiés pour les entreprises. Les employés deviennent des actionnaires et participent au développement économique de leur entreprise. Notre objectif est de développer l'actionnariat salarié dans les petites et moyennes entreprises ainsi que dans les start-up en particulier. De bonnes conditions sont nécessaires pour la compétitivité des entreprises et des start-up. »

L'étude publiée donne un aperçu sur les données actuellement disponibles ainsi que sur les modèles d'actionnariat salarié dans les 28 États membres de l'Union européenne. Les experts ont émis des recommandations d'action politique qui ciblent en particulier des mesures fiscales. De plus, ils adressent les questions juridiques et recommandent d'émettre des informations plus cohérentes afin de renforcer l'actionnariat salarié dans les entreprises et auprès des employés. L'étude repose sur un mandat de l'accord de coalition.

L'étude intitulée « Importance de l'actionnariat salarié en Allemagne / Europe et perspectives de développement » a été réalisée par un consortium composé de l'Université européenne Viadrina de Francfort-sur-Oder, l'université Helmut Schmidt / université de la Bundeswehr de Hambourg et le groupe de travail Partnerschaft in der Wirtschaft e.V. (littéralement : partenariat dans l'économie).

Vous trouverez l’étude en cliquant ici (en allemand).